Chez Sony, entre le MDR-1R (connecté sur mon PC portable) et son upgrade MDR-1A (connecté pour mes mix sur le PC fixe), ce dernier présente un renforcement en haut de la bande passante qui améliore un peu la perception des aigus.
D'habitude, je choisis mes équipements selon les caractéristiques techniques relevées sur les bancs d'essais. Pour le 1-R, ce fut un cadeau de Sony suite à mon activité sur leur site de matériel photo (un cadeau dans les 250 balles à l'époque). Mais les résultats des bancs d'essais m'avaient rassuré, et c'est tout naturellement que par la suite j'ai adopté le 1-A de la même famille, pour éviter les fréquentes déconnexions quand je passais d'un PC à l'autre et pour ne pas avoir de différence sensible d'écoute.
J'ai d'autres casques grand public encore plus anciens ; mais à poubelliser...
Je dois avoir aussi, stocké quelque part, un Seinheiser ouvert, utilisé avec mes orgues il y a plus de 20 ans ; et peut-être même des oreillettes de secours pour lui.
"Y a d'la joie" pour guitare, harmonica & orchestre symphonique
- Claude
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Re: "Y a d'la joie" pour guitare, harmonica & orchestre symphonique
Superbe travail Francis, et passionnante lecture de tout ce fil — à la fois sur l’arrangement, l’audition et même les casques !
J’ai écouté plusieurs fois ta version de Y’a d’la joie, et au-delà du plaisir évident d’entendre cette réinterprétation, ce qui m’a frappé c’est la précision du tissage orchestral : on sent que chaque détail a été pensé, même dans les transitions les plus courtes. On retrouve ce côté “guinguette stylisée” du début qui glisse naturellement vers une ampleur symphonique sans jamais perdre le fil mélodique.
Je rejoins Claude sur un point : pour l’auditeur non formé, il est difficile de tout distinguer d’un coup, surtout à ce tempo. Mais c’est aussi ce qui rend la pièce intéressante — on la redécouvre à chaque écoute, en repérant un contrechant ou une couleur de timbre passée inaperçue la première fois.
Et pour l’histoire du sifflement, j’ai dû moi aussi tendre l’oreille ! Mais une fois repéré, impossible de ne plus l’entendre.
Vraiment un très beau travail d’orchestration, bravo pour cette fusion entre univers populaire et palette symphonique.
J’ai écouté plusieurs fois ta version de Y’a d’la joie, et au-delà du plaisir évident d’entendre cette réinterprétation, ce qui m’a frappé c’est la précision du tissage orchestral : on sent que chaque détail a été pensé, même dans les transitions les plus courtes. On retrouve ce côté “guinguette stylisée” du début qui glisse naturellement vers une ampleur symphonique sans jamais perdre le fil mélodique.
Je rejoins Claude sur un point : pour l’auditeur non formé, il est difficile de tout distinguer d’un coup, surtout à ce tempo. Mais c’est aussi ce qui rend la pièce intéressante — on la redécouvre à chaque écoute, en repérant un contrechant ou une couleur de timbre passée inaperçue la première fois.
Et pour l’histoire du sifflement, j’ai dû moi aussi tendre l’oreille ! Mais une fois repéré, impossible de ne plus l’entendre.
Vraiment un très beau travail d’orchestration, bravo pour cette fusion entre univers populaire et palette symphonique.